Mes chers lecteurs, je ne peux que vous imaginer lectrices. Alors, ma chère lectrice, prenons le temps, vous et moi, d’une ligne à l’autre, de se dénuder timidement. Asseyez-vous, allongez-vous plutôt, à l’aise, l’esprit libre, nous sommes seuls après tout. J’écris ces mots rien que pour vous ma chère lectrice, quelqu’un se l’est-il déjà permis ? J’en doute.